9 DECEMBRE 2011 - RANDO LE PIC DE SAN CRISTAU.
9 DECEMBRE 2011 – RANDO LE PIC SAN CRISTAU.
Distance : 7 km
Dénivelé : 580m
Temps de marche hors pauses : 4h10mn.
Participants : André ROGER (dit le PERUANO)
Jacques MARMAYOU (dit le BULOT) VOITURE
Michel BARTOLI (dit l’OKAPI)
Marcel ROUILLE (dit LE CARIBOU).
UNE RANDO PANORAMIQUE ET PLUS NERVEUSE.
Le plus heureux du groupe est certainement l’OKAPI qui vient d’avoir l’autorisation de la faculté pour le reprise des RANDO. Nous accueillons également le BULOT après quelques mois d’interruption.
Notre petit monde est ponctuel pour le RDV chez le CARIBOU et nous voilà dès 7h30 en route, avec la JAGUAR de Jacot qui impressionne LE PERUANO.
Après un confortable trajet, nous sommes rendus à St JEAN L’ALBERE à 9 h et dégustons les viennoiseries.
9 DECEMBRE 2011 – RANDO LE PIC SAN CRISTAU.
Distance : 7 km
Dénivelé : 580m
Temps de marche hors pauses : 4h10mn.
Participants : André ROGER (dit le PERUANO)
Jacques MARMAYOU (dit le BULOT) VOITURE
Michel BARTOLI (dit l’OKAPI)
Marcel ROUILLE (dit LE CARIBOU).
UNE RANDO PANORAMIQUE ET PLUS NERVEUSE.
Le plus heureux du groupe est certainement l’OKAPI qui vient d’avoir l’autorisation de la faculté pour le reprise des RANDO. Nous accueillons également le BULOT après quelques mois d’interruption.
Notre petit monde est ponctuel pour le RDV chez le CARIBOU et nous voilà dès 7h30 en route, avec la JAGUAR de Jacot qui impressionne LE PERUANO.
Après un confortable trajet, nous sommes rendus à St JEAN L’ALBERE à 9 h et dégustons les viennoiseries.
TOP DEPART DEVANT LA JAGUAR.
A 9h05 sac au dos nous nous rendons au point de départ de la RANDO. Nous passons devant l’auberge CAN JOAN et c’est ici, que deux chiens se joignent à nous et ne nous quitterons pas de la journée.
LE CARIBOU qui a déjà fait cette RANDO en février 2011 en compagnie de LA FURE ET DU CABRIT, sera le guide du jour.
UN BON PETIT RAIDILLON D'ENTREE DANS UNE VEGETATION "UFANE" (LUXURIANTE).
D’entrée, une grimpette sévère nous amène par le versant sud au fameux DOLMEN DE NA CHRISTIANA à 652m. Il est daté du Néolithique, de la première moitié du IVème millénaire avant JC.
C’est une tombe à inhumation collective en forme de couloir, orienté au sud.
LE CELEBRE DOLMEN "NA CHRISTIANA".
Il est 9h 35 et nous continuons l’ascension par un chemin en balcon qui dévoile un superbe panorama sur le bas VALLESPIR, les ASPRES, et le massif du CANIGOU.
A un petit col, l’itinéraire nous indique une descente, ce qui fait « RAPOUTAGUER » le CARIBOU qui comprend très vite qu’il faudra grimper un peu plus pour atteindre le COL DU LLINAS à 808m.
COTE OUEST: LE CANIGOU, LE COSTABONNE ET LE VIADUC DES CALCINES.
COTE SUD LE FORT DE BELLEGARDE DOMINE LE PERTHUS
DANS LA FORET DE CHENES VERTS LES SANGLIERS LAISSENT DES TRACES.
La vue sur le versant Nord dévoile la Côte Catalane et toute la plaine du Roussillon. Il est 10h45 et nous faisons une pause d’1/4 d’heure près de la borne gravée. Les paysages sont superbes.
PREMIERE PAUSE CONSEQUENTE AU COL DU LLINAS.
COTE EST: LE LITTORAL ET LE PIEMONT DES ALBERES.
COTE NORD: LA PLAINE DU ROUSSILLON ET LES CORBIERES.
Nous repartons en grimpette vers le col de la BRANCA que nous atteignons à 11h15 (949m).
Nous avons maintenant en ligne de mire le PIC DU SAN CRISTAU et un refuge blotti tel un nid d’aigle. Cette dernière montée est vraiment raide et arrache quelques râles au CARIBOU.
Jacot le BULOT qui n’a pas marché depuis longtemps est à l’aise dans cette grimpette, il est suivi de près par le PERUANO. Plus loin, l’OKAPI qui n’a pas encore été intronisé ouvre la voie au CARIBOU qui est un peu retardé par les notes qu’il doit prendre pour le reportage et les photos qu’il est le seul à assumer en l’absence de LA FURE. Sans nul doute, sans ces contraintes matérielles le CARIBOU monterait presque en courant cet insignifiant dénivelé !!!!!!!!!!!! CQFD.
DU COL DE LA BRANCA LE REFUGE CASTRAL EST EN VUE.
LA MONTEE EST TRES RAIDE.
EN MONTANT LA VUE S'OUVRE SUR LE BUGARACH AU LOIN.
VUE SUR LE COL DE LA BRANCA ET LE MACHU PICCHU (SELON LE PERUANO).
Bref, il est midi pétante lorsque tout notre beau monde est au PIC avec une vue panoramique à 360° qui nous fait oublier les efforts consentis.
La vue sur le Roussillon, l’EMPORDA et tous les massifs est extraordinaire. Le refuge que nous pénétrons, est une ancienne chapelle castrale du IXème siècle. Nous observons aussi les ruines d’une tour à signaux qui devait être similaire à celle de la MASSANE ou de la MADELOC.
Ce pic très rocailleux héberge aussi une petite colonie de chèvres sauvages que nous admirons.
Soudain, le PERUANO s’agite. Côté Ouest, il observe attentivement la montagne qui surplombe le col de la BRANCA, et nous affirme qu’i ressemble comme un frère jumeau au « MACHU PICCHU » la célèbre montagne PERUVIENNE.
Pour immortaliser ce grand moment, le CARIBOU décide de faire une VIDEO qui sera envoyée à tous les membres des VAMBES VALENTES.
ENFIN LE SAN CRISTAU EST VAINCU.
PAS D'AFFOLEMENT TOUT LE MONDE ARRIVE.
LE PIC EST AUSSI OCCUPE PAR DES CHEVRES SAUVAGES.
DEUX BELLES CHEVRES.
L'INTERIEUR DU REFUGE CASTRAL.
ET L'EXTERIEUR.
Il est 12h30 et nous décidons de continuer un peu avant de pique-niquer. Nous passons devant le rocher qui a vu en février dernier les chaussures de la FURE demander la becquée.
PHOTO D'ARCHIVE OU LES CHAUSSURES DE LA FURE DEMANDENT LA BECQUEE. (SOUVENIR SOUVENIR).
Nous descendons par le côté NORD EST un escarpement rocheux qui contourne en fait le pic de SAN CRISTAU. Ce passage est délicat, l’humidité de la nuit sous l’influence du marin garde les roches bien humides.
NOUS PROGRESSONS DANS UN ESCARPEMENT ROCHEUX.
Soudain, un instant d’inattention, un cri strident, et voilà le CARIBOU qui s’envoie les 4 fers en l’air sur un rocher pire qu’une savonnette.
La chute sera dure, et l’OKAPI notre infirmier de service devra sortir antiseptique et pansements. L’hélicoptère n’a pas été appelé, et le groupe peut repartir après les soins efficaces de l’OKAPI.
APRES LA CHUTE LE CARIBOU EST AUX SOINS.
NOUS CONTINUONS LA PROGRESSION DANS LES ROCHERS.
Entre le col de la FONT et celui de BALANDRE, nous trouvons un coin ensoleillé et à l’abri du marin pour le moment royal du pique nique. Il est 13h05.
En bon suppléant de la FURE, le CARIBOU sort une flasque rutilante, et l’OKAPI nous régale de ces agapes apéritives.
Le PERUANO continue à préférer son morceau de polystyrène agrémenté de soja nous laissant stupéfait par autant de sobriété.
Chacun son truc, et vive la liberté !!!!!!!
Malheureusement, en l’absence de JAMPY LE CABRIT, nous n’aurons pas droit à l’habituel café.
LE MOMENT ROYAL DU PIQUE NIQUE.
L'OKAPI NOUS DISTRIBUE QUELQUES AMUSES GUEULE.
A 14 h, il faut reprendre le chemin, même si nous aurions passé une partie de l’après midi là ou nous étions si bien.
A 14h30 nous laissons le col de SAN JOAN pour une descente infernale par l’adret qui nous conduira à Saint Jean l’ALBERE.
POUR LA DESCENTE RAIDE, IL FAUT S'ACCROCHER AUX BRANCHES.
Nous retrouvons la JAGUAR et les rafraichissements à 15h30, avec la grande satisfaction d’avoir fait une belle RANDO avec un temps merveilleux, et tout le monde s’est satisfait de la difficulté croissante avec l’augmentation du dénivelé.
LE CARIBOU.